Les biologistes médicaux libéraux sont à la fois singuliers et exemplaires parmi les professionnels de santé libéraux. Sur bien des points, ils aff rontent avant tous leurs confrères les évolutions de notre système de santé qui transforment petit à petit les professionnels libéraux à exercice indépendant en patrons d’entreprises libérales. Pour rester dans la course à l’innovation, pour faire face aux obligations réglementaires comme l’accréditation, ils se sont regroupés et ont cherché des modes de fi nancement qui n’ont pas tous faits l’unanimité dans la profession. Et maintenant ? Sur fond de débat parlementaire sur le projet de loi en faveur des indépendants, et en présence d’Alain Grizet, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Michel Picon, Président de l’UNAPL et le Dr François Blanchecotte, Président des JIB et Président du Syndicat des biologistes, nous vous invitons à réfl échir à l’avenir de ces structures libérales qui doivent composer entre réalisme économique et exigence éthique et professionnelle.
La crise sanitaire liée au COVID-19 a débuté il y a 2 ans en Chine. Depuis mars 2020, la France est mobilisée contre l’épidémie. Les biologistes médicaux font partie des professionnels de santé de première ligne dans ce combat.
Cette séance inaugurale se tient en présence de deux scientifiques de renom présidant des instances indépendantes chargées de conseiller le pouvoir politique. Elle vise à faire le point sur l’engagement de la profession, sur les leçons à en tirer et sur les perspectives ouvertes par cet épisode exceptionnel traversé par notre pays.
Ainsi, pour la première fois depuis le début de l’épidémie, la grande famille du diagnostic pourra, de visu, partager deux ans de mobilisation et échanger avec deux observateurs engagés de la crise .
La crise sanitaire a été marquée par une autre crise celle des Cyberattaques, en 2020 les signalements ont augmentés de 255% selon l’ANSSI mais ce n’est que le sommet de l’ICEBERG. Tous les secteurs ont été touchés mais les structures de soins, les collectivités territoriales, les grandes entreprises ont été particulièrement ciblées, certaines déjà très désorganisées par la crise sanitaire ont eu beaucoup de mal à s’en remettre. Dans ce tour d’horizon des impacts de l’explosion des cyberattaques dans le secteur du sanitaire, nous vous proposons de l’aborder sous trois angles différents :
- celui de la cellule cyberveille qui a dû s’organiser pour accompagner le secteur dans la lutte anticybercriminelle
- celui de l’assureur qui a dû compte tenu des risques réévaluer sa politique assurancielle
- celui de l’expert qui a dû s’adapter à l’explosion des demandes d’accompagnement
La biologie « hors-les-murs » comporte 3 éléments : les EBMD (examens de biologie médicale délocalisés), réalisés sous la responsabilité des biologistes médicaux, les TROD (tests rapides d’orientation diagnostique) sous celle de professionnels de santé et les autotests, réalisés par les patients ou leur entourage sous leur propre responsabilité. Certains d’entre eux sont des dispositifs de mesure pour une auto-surveillance sur sang capillaire (glucose, INR) prescrits et remboursés.
La place croissante des biomarqueurs dans la prise en charge des urgences cardio-vasculaires se confirme chaque jour. Après un inventaire clinique, et le recueil des constantes vitales, les examens usuels que sont l’électrocardiogramme et l’examen clinique orientent le diagnostic. Avant toute prescription d’examen morphologique, le dosage des biomarqueurs permet d’orienter le diagnostic de l’urgence cardio-vasculaire. La place des D-dimères est croissante dans le diagnostic de maladie thrombo-embolique veineuse. Le dosage de troponine est devenu systématique devant toute douleur thoracique faisant suspecter une ischémie myocardique. Enfin, le dosage du BNP est systématique devant toute dyspnée de cause indéterminée, de façon à confirmer ou infirmer le diagnostic d’insuffisance cardiaque. Il apparaît donc que ces biomarqueurs ont bouleversé le paysage du diagnostic des urgences cardio-vasculaire, ils sont devenus indispensable au quotidien. Il reste à les prescrire de façon raisonnable. La juste prescription…
Biologistes médicaux et professionnels de santé sont régulièrement interrogés sur l’intérêt des analyses du microbiome fécal : quelle fiabilité ? quel apport à la prise en charge médicale ?
Dans cette session qui réunit un spécialiste de la microbiomique, un expert clinicien et des biologistes médicaux, seront discutés les aspects techniques de l’analyse microbiomique au laboratoire, soulignant la nécessité de méthodes performantes, standardisées, de marqueurs quantifiables et de repères d’interprétation.
SI-DEP est un système d’information national de suivi du diagnostic de la COVID-19 déployé sur l’ensemble du territoire le 13 mai 2020 pour répondre au besoin de surveillance épidémiologique et de contact-tracing pendant la crise sanitaire. Ce dispositif fruit d’une collaboration étroite entre l’APHP, la DGS, Capgemini et la SFIL accompagnés des éditeurs, des établissements, les utilisateurs participants à la gestion de la crise (CNAM, SPF, DRESS, ARS...) a permis de connecter près de 4000 sites en moins de 5 semaines et de collecter l’ensemble des données nécessaires à la gestion de la crise sanitaire.
Ce système d’information était attendu depuis des années par les biologistes et il semble naturel compte tenu des performance du système mis en place que dans son principe celui-ci soit pérennisé afin :
- d’améliorer et adapter des actions de veille et sécurité sanitaire, du suivi épidémiologique, du pilotage des programmes nationaux et des enquêtes sanitaires interventionnelles grâce à l’exhaustivité des données centralisées et disponibles quasiment en temps réel ;
- de cibler les actions de santé publique en renforçant les campagnes nationales de dépistages et de vaccinations ;
- de servir d’appui à la recherche médicale en consolidant et en enrichissant les bases de données utilisées à des fins de recherche et d’étude, permettant notamment des comparaisons à l’international et le croisement avec des bases de données sociodémographiques.
Depuis le 1er novembre, tous les laboratoires de biologie médicale ont dû déposer leur dossier d’accréditation à 100%. Un évènement qui n’a pas fait la Une de la profession, mais qui marque toutefois la fi n d’un long processus démarré avec l’ordonnance de 2010 et l’introduction de l’obligation d’accréditation. Et maintenant ? Quel bilan de cette dernière phase ? Que dire de l’accréditation aujourd’hui ? Quel apport pour les laboratoires de biologie médicale ? Pour le système de santé ? Pour les patients ? Quels sont les prochaines étapes ? Jean-Louis Guéant, Président de la Commission Nationale de Biologie Médicale (CNBM), Dominique Gombert, Directeur général du Cofrac et Anne Moulin, Cheff e du bureau qualité des pratiques et recherches biomédicales à la (DGS) répondront à toutes ces interrogations et reviendront sur les réussites et les échecs de l’accréditation.
D’une ampleur inédite, la crise sanitaire et sociale due à la pandémie COVID-19 soulève pour tous des enjeux et des défi s propres. Créée en 1937, la Société Française de Microbiologie (SFM), riche de sa diversité et ouverte aux partenariats, regroupe des microbiologistes de tout horizon. Organisée en sections et groupes de travail, ses objectifs sont de promouvoir la microbiologie en France et à l’étranger, assurer l’éducation et favoriser la recherche. La SFM participe activement aux activités menées sous l’égide des autorités de santé publique française et est fortement liée à d’autres sociétés savantes et associations.
La réforme du troisième cycle des études de santé réalisée en 2017 a conduit à la création d’un nouveau Diplôme d’Etudes Spécialisées (DES) de Biologie Médicale. En novembre 2021, les premiers internes de cette réforme seront arrivés au bout de leur cursus et auront soutenu leur mémoire de DES accédant au grade de médecin ou pharmacien biologiste médical. A l’aune de cette promotion, un premier état des lieux de ce nouveau DES peut-être réalisé. Quel a été son impact sur la formation des biologistes médicaux de demain ? Quel sera son impact sur l’exercice de la biologie médicale dans l’avenir ? Quelle est l’évolution potentielle de cette formation dans les années à venir au vu de l’évolution du métier ?
3 systèmes de groupes sanguins ont été caractérisés à ce jour chez l’Homme, les plus connus étant ABO, Rh, Kell, Duff y, Kidd et MNS. Ces systèmes sont codés par 48 gènes et 2 gènes associés. Au total, 378 antigènes érythrocytaires sont aujourd’hui décrits. Les systèmes Rh et MNS sont les plus polymorphes ; ceci s’explique par le fait qu’ils sont codés par plusieurs gènes (organisés en haplotypes), avec respectivement 56 et 50 antigènes.
Il existe environ 200 phénotypes rares chez l’Homme et on estime à près d’un million le nombres d’individus concernés en France (mais uniquement 17 000 personnes sont répertoriées dans le Registre national des sujets présentant un phénotype/génotype érythrocytaire rare, maintenu par le CNRGS). A ceci s’ajoutent des centaines de variants phénotypiques et génotypiques, dont une partie signifi cative présente un intérêt clinique, en particulier pour les systèmes Rh et MNS dans les populations d’origine africaine/antillaise.
Un certain nombre de groupes rares peuvent être dépistés lors d’un simple phénotypage ABO/Rh/K ou lors du phénotypage étendu (Fya/Fyb, Jka/Jkb, S/s). La plupart des groupes sanguins rares sont cependant suspectés de manière indirecte en réalisant la recherche d’anticorps antiérythrocytaires (RAI), avec une image de pan-agglutination des hématies du panel d’hématies-tests et des témoins autologues négatifs.
Après quelques rappels généraux sur les groupes sanguins et la RAI, nous aborderons au cours de cette session, par l’intermédiaire de plusieurs cas concrets, le rôle du laboratoire de biologie médicale au niveau du dépistage des groupes sanguins rares et variants et son caractère déterminant dans la prise en charge transfusionnelle et obstétricale du patient. Nous verrons également qu’il existe aujourd’hui de nouvelles approches en laboratoires spécialisés pour la résolution des cas les plus complexes, basées sur des technologies de type « omics » (génomique et protéomique).
« The global health » est un nouveau concept qui positionne « le diagnostic biologique » comme une étape clé dans la prise en charge de toute maladie. Malheureusement, la plupart des pays à ressources limitées (Afrique Francophone comprise) a une politique de santé à moyens restreints. Dans ce contexte, la position de la biologie médicale reste marginale alors que son rôle nous semble primordial pour la prise en charge des infections tropicales et/ou négligées. La crise « Ebola » a mis en lumière ces carences locales dans ce domaine : ces pays n’ont ni équipements, ni infrastructures, ni formation et expérience pour rendre un diagnostic de qualité. L’accès au diagnostic biologique doit pouvoir s’appuyer sur un réseau de laboratoires de proximité indispensable. Ce réseau correspond à des laboratoires de base reposant souvent sur une structure minimaliste avec un microscope et l’utilisation de tests de diagnostic rapide (TDR) appelées aussi Point of care (POC). Ces derniers correspondent à des outils précieux. Vu leur diffusion croissante, il est important d’en connaître leurs caractéristiques, leurs avantages et leurs limites
La pandémie liée au SARS-COV-2 a entrainé des mesures sanitaires exceptionnelles qui ont influencé profondément le mode de vie des Français avec aussi des conséquences psychologiques mal évaluées à ce jour. Dans une première présentation nous vous présenterons l’impact du premier confinement, le plus strict, sur les appels aux Centres Antipoison. Dans une seconde présentation nous vous présenterons le suivi que nous avons réalisé prospectivement sur le nombre d’appels pour suicide tout au long de la pandémie. Enfin nous ferons un focus sur trois phénomènes « nouveaux » observés au cours de cette pandémie : les projections sévères de solution hydroalcoolique entrainant des atteintes oculaires sévères chez les enfants, une augmentation des cas rapportés de symptômes neurologiques suite à la consommation festive de protoxyde d’azote et l’émergence de l’utilisation de nitrite de sodium à des fins suicidaire. L’ensemble de ces éléments plaident pour un rôle central des CAPs en tant que recours au soin et système d’alerte en situation sanitaires exceptionnelles
Les stéatoses hépatiques métaboliques (stéatopathie dysmétabolique ou NAFLD en anglais pour Non-Alcoholic Fatty Liver Disease) sont les conséquences hépatiques de l’insulinorésistance et de l’inflammation stérile induite par un stress métabolique (métainflammation). Elles sont constituées d’un continuum de lésions allant d’une stéatose simple, à une NASH (Non alcoholic Steato-Hepatitis) favorisant l’évolution vers la fibrose voire la cirrhose NASH. Elles sont la première cause de perturbation du bilan hépatique. Leur physiopathologie est complexe impliquant une dysfonction de multiples organes (tissu adipeux, système musculaire, système immunitaire, tube digestif et foie). De nouvelles cibles thérapeutiques ont suscité le développement de molécules anti-NASH dont beaucoup ont vu leur développement stoppé en cours d’essais thérapeutiques de phase 2 ou 3, faute d’efficacité suffisante. La perte de poids et les mesures hygiéno-diététiques personnalisées restent au centre de la prise en charge. Le test FIB4 (basé sur l’âge, l’ASAT, l’ALAT et les plaquettes) est simple, gratuit, validé devrait être largement promu en outil de dépistage de la fibrose hépatique au cours de la NAFLD. Plusieurs autres tests non-invasifs de fibrose hépatique, plus complexes et payant, sériques ou physiques, ont été validés. L’accès à un remboursement de ces tests non-invasifs faciliterait le développement des parcours de soins. La prise en charge de cette pathologie nécessite, en effet, une mobilisation des soignants des réseaux primaires, secondaires et tertiaires. Une prise en charge interdisciplinaire (médecin traitant et médecins spécialistes d’organes et biologistes ) est utile pour prendre en charge cette pathologie multisystémique
De nouvelles approches diagnostiques probabilistes ciblant les principales étiologies responsables des infections en fonction du contexte clinique sont apparues récemment. Elles correspondent à des techniques innovantes de PCR « multiplex », couteuses mais souvent simples d’utilisation et permettant une réponse rapide incluant récemment pour certains kits, la détection de gènes codant la résistance aux antibiotiques. Leur place dans l’arsenal diagnostic ainsi que leurs avantages et inconvénients sont encore à définir
La croissance de l’incidence mondiale du diabète amène les prescripteurs à systématiser la mesure de l’HbA1c pour l’identifi cation des patients susceptibles de développer un diabète et pour la surveillance du contrôle glycémique à long terme chez les individus atteints de diabète.
Les laboratoires font donc face à une forte demande et à un besoin de performances accrues avec un niveau d’effi cacité important.
Tout en répondant aux enjeux majeurs de la mesure de l’HbA1c comme la certification NGSP1, la prise en compte de ses principaux variants, un temps de rendu de résultat optimisé. VITROS® HbA1c MicroSlide™ apporte tous les bénéfices des technologies exclusives MicroSlide™ (maintenances opérateurs réduites, réduction des déchets générés tout en s’aff ranchissant des contraintes de la chimie liquide) et des technologies VITROS® (Taux de rendu au premier passage de 96,5%, qualifi cation de l’échantillon, sécurité analytique avec Intellicheck® et MicroSensor™) pour vous donner une confi ance optimale dans le résultat rendu.
Le nouveau test VITROS® HbA1c MicroSlide™ d’Ortho Clinical Diagnostics permet la mesure de l’HbA1c sur les plateformes VITROS®. Intégrer le dosage de l’HbA1c sur les systèmes VITROS®, c’est :
• Optimiser l’organisation du plateau technique avec la réalisation du dosage HbA1c sur un outil de production commun pour les tests de chimie et d’immunoanalyse,
• Réaliser les analyses au fi l de l’eau et non en série,
• Gagner du temps et améliorer le confort de travail pour les opérateurs qui n’ont plus à traiter ces échantillons séparément et qui n’ont pas besoin d’une expertise dédiée à l’interprétation des chromatogrammes
• Maîtriser les coûts de production
Ortho Clinical Diagnostics est un leader mondial du diagnostic in vitro qui travaille avec des laboratoires d’analyses médicales en chimie & immunoanalyses et des acteurs de la médecine transfusionnelle dans le monde entier. Ortho Clinical Diagnostics possède une longue histoire d’innovation scientifique et d’engagement dans le domaine des maladies infectieuses (tests de dépistage et de sérologie), de l’hormonologie et des soins aigus.
Les traumatismes crâniens légers (TCL) sont une cause fréquente d’hospitalisation aux urgences. Au niveau mondial, on estime à 69 millions le nombre de patients, qui subissent un traumatisme crânien (TC) chaque année. Plus de 80% de ces patients ont un TCL. Les urgences sont le point de passage vers les soins médicaux pour la plupart de ces patients présentant un TCL.
Ces données épidémiologiques et la complexité des caractéristiques cliniques et organisationnelles du traumatisme crânien rendent particulièrement importante la revue systématique et actualisée de la littérature scientifi que et la reconnaissance critique des méthodes organisationnelles pratiquées.
À ce jour, la prise en charge initiale du TCL comprend un scanner cérébral sans MDC si le patient répond à des conditions spécifiques. Cependant, la prévalence des anomalies détectées par cette méthode est inférieure à 10 % chez les patients atteints de TCL et moins de 1 % de ces patients nécessitent des interventions neurochirurgicales.
Les objectifs de cette séance sont de reconnaître le besoin non satisfait d’une meilleure évaluation des TC et d’étudier la valeur objective des tests automatisés de biomarqueurs de TC qui pourraient améliorer l’évaluation des TC et optimiser leurs voies de traitement.
L’atelier d’IA WITSEE STUDIO est une plateforme numérique qui permet aux anatomopathologistes et aux biologistes d’utiliser et de créer leurs propres modèles d’intelligence artifi cielle afi n de quantifi er automatiquement leurs lames virtuelles à très haute résolution. Basée sur des algorithmes de type Machine Learning et Deep Learning, la solution WITSEE permet d’apprendre très rapidement des choix du spécialiste pour le libérer de l’essentiel du travail de préanalyse. L’utilisateur peut dans un premier temps générer de façon simple un modèle d’apprentissage pour chacun des marqueurs dont il dispose, grâce au Deep Learning. Une interface de dessin intuitive lui permet d’annoter quelques régions sur des échantillons d’apprentissage ou sur une donnée type. Grâce à la Data Augmentation, il devient possible de générer un modèle d’apprentissage avec un nombre réduit de données source, diminuant d’autant la charge de travail manuel à effectuer. Le modèle généré est ainsi utilisable sur des données avec un biomarqueur de même type. Une fois le modèle généré, de nouvelles images histologiques peuvent être classifi ées automatiquement par des algorithmes d’Intelligence Artifi cielle, utilisant l’un des modèles précédemment générés par l’utilisateur.
Avec 80 collaborateurs et plus de 4000 solutions installées dans le monde, BYG4lab® est le leader Européen du Data Management à destination des laboratoires de biologie médicale. Découvrez dans cet atelier, la nouvelle génération de solutions BYG4lab®, qui couvre l’ensemble des disciplines biologiques à la fois pour les plateaux techniques centralisés et pour le pilotage des EBMD
Retour d’expérience sinistres dans les établissements recevant du public.
La crise sanitaire a occasionné une hausse inédite de l’activité des laboratoires de biologie médicale qui fi gurent au nombre des professionnels de santé en première ligne de la stratégie gouvernementale de lutte contre la COVID 19. Ainsi, entre mars et novembre 2020, plus de 21 millions de tests PCR Covid 19 ont été réalisés dans les laboratoires français. Ce nombre exceptionnel de tests implique nécessairement une très forte fréquentation des laboratoires, et donc une augmentation des risques liés à ce flux de passage. Parmi ces risques, l’on note un accroissement des accidents corporels mettant en cause les éléments d’équipement et d’agencement des laboratoires, soit en raison de la vétusté, soit en raison du non-respect de certaines normes, notamment celles relatives à l’accessibilité des établissements recevant du public. Face à une population de plus en plus procédurière et à une américanisation des demandes indemnitaires, il est important en cette période de forte sollicitation pour les laboratoires, de s’assurer de la conformité de leurs locaux aux normes réglementaires.
Risque de malveillance informatique : de la détection à l’intrusion
Comme il existe des systèmes d’alarme détectant les intrusions dans une maison, il est aujourd’hui possible de mettre en place un système d’alarme permettant de détecter des cyberattaques sur votre informatique. Lors de cet atelier, ADNOV vous propose de comprendre ces solutions préventives et de partager son retour d’expérience sur le déploiement d’une cyber-surveillance : comment ça marche ? Exemples de cas concrets qui ont permis de protéger un système d’information Au travers de son expérience, Inquest présentera la démarche de réponse en cas d’attaque cyber en s’appuyant notamment sur des retours d’expériences concrets. L’objectif sera de comprendre les bons réfl exes d’urgence et les bonnes pratiques à mettre en place à la suite d’un incident de cybersécurité.
Les attaques informatiques visant les systèmes du secteur de la santé sont de plus en plus fréquentes. Dans le monde, on dénombre une attaque tous les trois jours sur les hôpitaux. La législation évolue, les responsabilités aussi. Cette session est organisée par l’AFIB (Association Française des Ingénieurs Biomédicaux) qui a mis en place en 2020 un groupe de travail pour apporter des solutions concrètes pour augmenter la sécurité numérique des équipements médicaux. La première présentation a pour objectif de situer la problématique, les évolutions récentes de la législation et l’organisation en France de la lutte contre la cybercriminalité. La seconde vise à présenter un cas concret d’évaluation des risques et des recommandations pour mieux maîtriser la vulnérabilité des équipements d’un laboratoire de biologie
CPTS, ESP, ESS , ESCAP, DAC… autant d’acronymes obscurs avec lesquels le biologiste devra se familiariser. Cette session, ce sera l’exercice coordonné pour les nuls. Ce sont des professionnels de santé de terrain qui partageront leur expérience et avec lesquels vous pourrez échanger. Vous comprendrez rapidement que le biologiste est un des ces professionnels de santé, du second recours, qui doit apporter son concours à un exercice pluriprofessionnel pour une meilleure prise en charge du patient..
Cancer et intelligence artificielle : un nouvel espoir grâce à la biologie médicale ? La question du rôle de l’intelligence artificielle dans la biologie médicale ne fait plus débat. Accélération du diagnostic, aide à la décision thérapeutique ou identification de nouvelles pistes de recherche… Les applications possibles sont vastes et concrètes. Dans la lutte contre le cancer, les progrès sont déjà nombreux. Technologie d’aujourd’hui pour construire la biologie de demain, sa place est de plus en plus importante. Loin d’être en compétition avec l’intelligence humaine, les réussites sont au contraire fondées sur l’association des deux. Comment l’intelligence humaine peut-elle profiter de ces nouveaux outils pour se faciliter la tâche ? Dans cette session interactive, en partenariat avec la Chaire de Santé Intégrative du CNAM et KIRO, oncologues, biologistes médicaux et experts de l’IA viendront présenter les avancées de leurs laboratoires et témoigner des perspectives de développement. L’enjeu : passer d’une médecine centrée sur la maladie à une médecine centrée sur les services aux patients.
Le Biologiste Médical est reconnu comme un maillon essentiel de notre système de soins aux patients. Il est aussi un acteur incontournable pour la collectivité. La pandémie que nous traversons en est la preuve. Le dépistage est au coeur de l’activité du Biologiste Médical (diabète, hyperlipidémie, MST etc...), mais essentiellement sur prescription du médecin pour une prise en charge par l’Assurance Maladie.
Les pouvoirs publics sont-ils prêts à pérenniser la reconnaissance professionnelle obtenue lors de l’épidémie de COVID-19 en incitant, et en finançant, des actions de dépistage, et donc de prévention, pour des pathologies dont certaines posent de graves problèmes de santé publique ? Mieux vaut prévenir que guérir... Ce vieil adage est sans cesse à redécouvrir. Que la prévention soit primaire (dépistage du papillomavirus), ou secondaire (diagnostic et suivi de l’insuffisance rénale), pour ne prendre que ces deux exemples, les sommes qui lui sont consacrées sont à considérer comme un investissement - et non pas une simple dépense - compte tenu des économies réalisées en évitant ou en retardant l’apparition de maladies graves et/ou invalidantes.
Le biologiste est bien un acteur majeur de santé publique !
L’accord triennal qui a été initié il y a maintenant plus de 9 ans, a permis de gérer au mieux les augmentations de volume des actes prescrits dans le secteur de la biologie médicale, mais la conséquence est la baisse quasi inéluctable des tarifs de certains actes de façon à compenser les volumes pour rester dans le cadre d’une enveloppe négociée. la crise sanitaire a vu naître deux phénomènes, le premier des dépense supplémentaires hors accord par la CNAM et d’autre part, pour la première fois une sous consommation des actes. Quelles sont les leçons que nous devons en tirer pour se préparer à d’autres crises, même si elles ne sont pas de cette ampleur, mais aussi pour l’avenir ? faut-il rester sur un accord de 3 ans ? Faut-il étendre cet accord avec d’autres volets que celui des actes courants ? Et d’autre part, les fi nances publiques ont été fortement impactées, que faut-il en penser? Quels mécanismes doivent-ils être enclenchés pour y faire face ? Deux acteurs clés sont là pour y répondre.
Au cours des trente dernières années l’attention de nombreux praticiens s’est focalisée sur les complications athéromateuses des diabètes de type I et de type II. Beaucoup plus récemment que nous avons réalisé que l’insuffi sance cardiaque était un enjeu majeur chez les patients diabétiques. En eff et la prévalence de l’insuffi sance cardiaque est multipliée par un facteur compris entre 2.5 et 5 chez les patients diabétiques, par rapport aux patients non diabétiques, et 30 à 40% des patients inclus dans les essais cliniques menés dans l’insuffisance cardiaque sont diabétiques. Aujourd’hui, il existe des outils qui permettent de détecter l’insuffi sance cardiaques et des traitements qui préviennent son apparition.
La médecine d’urgence est en évolution organisationnelle permanente. La bonne utilisation des structures d’urgences pré et intra-hospitalière est un enjeu de santé publique. Chaque acteur du système de soins doit comprendre les missions et les limites du système d’aide médicale urgente. Dans cette session nous décrirons l’organisation, les missions et le parcours de soins dans les structures d’urgences pré-hospitalières (SAMU SMUR) et intra-hospitalière. Enfi n nous décrirons les outils diagnostiques disponibles dans ces structures.
La pandémie de Covid 19 a eu pour conséquence immédiate une forte demande d’examens de Biologie Médicale spécifiques (PCR) pour une population peu avertie de la profession de Biologiste Médical. L’intense médiatisation concomitante a fait prendre conscience petit à petit de la nécessaire maîtrise technique et médicale des processus conduisant à une prise en charge optimum des personnes concernées. Corrélativement sont apparus des offres analytiques et organisationnelles qui sont très éloignées de la Biologie Médicale à qualité prouvée (accréditation ISO 15189). Cette offre analytique, sous l’impulsion de certains industriels du DMDIV, semble vouloir s’étendre largement au-delà des tests pour la Covid, au motif que la population serait en attente de cette nouvelle offre sur notre territoire. Quel avenir pour ces nouvelles offres et quel impact sur l’attractivité de la Biologie Médicale pour les étudiants en médecine ou pharmacie pour lesquels l’image de la profession se brouille de plus en plus ?
Les années 2019 et 2020 ont été celles de modifi cations majeures qui impactent considérablement la (les) façon(s) habituelle(s) de rapporter les antibiogrammes.
Il existe toujours 3 catégories cliniques : deux catégories sensibles – sensible à dose standard (S) et sensible à forte exposition (I) – et une catégorie résistante – résistant (R). La nouvelle catégorie « sensible à forte exposition » (qui remplace l’ancienne catégorie « intermédiaire ») indique que la probabilité de succès thérapeutique est élevée lorsque l’exposition à l’antibiotique peut être augmentée en ajustant la dose à la hausse, ou si l’antibiotique est fortement concentré sur le site infectieux. Pour quelques espèces bactériennes, les phénotypes sauvages ne sont sensibles à certains antibiotiques qu’à forte dose. Si les défi nitions ont changé, les lettres S/I/R utilisées dans nos SIL ou nos automates n’ont en revanche pas lieu d’être remplacées, rendant ainsi plus accessible le paramétrage informatique à réaliser. La notion de Zone d’Incertitude Technique (ZIT), qui était un des éléments de l’ancienne catégorie « intermédiaire », est désormais gérée de façon indépendante de la catégorisation clinique : pour quelques rares couples antibiotiques/bactéries, et sur des plages limitées de diamètres/CMI proches des concentrations critiques, elle constitue un « warning » dont le laboratoire doit se saisir pour informer le clinicien sur l’incertitude du résultat de la catégorisation clinique d’un antibiotique donné pour une souche donnée, ou pour initier la réalisation de tests complémentaires permettant de résoudre cette incertitude. La table ronde s’adresse ainsi aux laboratoires et aux cliniciens des centres qui n’ont pas encore « franchi le pas » de ces changements et qui s’interrogent encore sur la façon de les mettre en œuvre en routine. Les objectifs de la table ronde sont de présenter le rationnel qui sous-tend les modifi cations de défi nition des catégories cliniques, et d’exposer les solutions techniques, organisationnelles et les éléments de communication à préparer pour intégrer avec succès les nouvelles recommandations du CA-SFM/ EUCAST.
Quelle est la définition d’une anémie et quel bilan est à réaliser en première intention? Comment interpréter le bilan martial ? Quand faire un bilan d’hémolyse ? Quelles sont les indications de l’étude de l’hémoglobine ?
Faire face aux évolutions technologiques et aux innovations est un défi pour les biologistes médicaux, que ce soit dans la mise en place de nouveaux modes de diagnostic à proximité des patients tels que les appareils de biologie dits «délocalisés» limitant les hospitalisations non nécessaires, mais aussi comme l’a montré la crise du COVID, le besoin d’utiliser des réactifs non encore commercialisés et qui doivent répondre à la commande publique. Pour se faire, nous avons demandé aux représentantes du CSIS de nous présenter les éléments d’évolution proposés dans le rapport qui a été remis et aux représentants de l’ANSM de nous montrer le rôle de l’agence et de nous faire comprendre le processus de mise en place d’un nouveau système diagnostic.
Le dépistage du cancer du col de l’utérus a fait l’objet de nouvelles recommandations où le test HPV joue un rôle central. La session fera le point sur le nouveau parcours des patientes, la place du biologiste dans ce dépistage, les perspectives d’évolution comme l’auto-prélèvement. L’impact du COVID sur le démarrage du programme et celui de la vaccination sur son évolution sera abordée
On vous dira tout sur les différents régimes qui composent la retraite des pharmaciens : régime de base, répartition, PCV, capitalisation. Comment fonctionnent ces différents régimes? Comment sont-ils financés ? Pourquoi cotiser le maximum en capitalisation ? Comment est calculée votre retraite ? Quel avenir pour notre caisse et ses réserves, que vous avez constituées ? Qu’est-ce que le fonds InterPharmaciens ? Le Président de la CAVP répondra à toutes vos questions.
L’évolution voulue par le Gouvernement sur le numérique offre une opportunité majeure pour la biologie médicale. La dotation financière va permettre de financer nos éditeurs ainsi que toutes celles et ceux qui souhaitent basculer vers des versions MSS, DMP compatibles. Il est essentiel que notre secteur professionnel reste en pointe sur ces évolutions, nous pourrons garantir à nos patients de meilleurs services et pouvoir, demain, recevoir des prescriptions connectées, utiliser l’intelligence artificielle. Etre attractif, performant et efficient dans tous les domaines de la biologie que ce soit la prévention et le diagnostic biologique.
Le développement de l’immunothérapie modifie profondément la prise en charge des hémopathies malignes et le biologiste est indispensable au suivi des patients recevant ces traitements, en particulier les lymphocytes T a récepteur antigénique chimérique (CAR-T cells) sur lesquels va se focaliser la présentation. Les CAR-T cells sont maintenant approuvés dans le traitement de la leucémie aigüe lymphoblastique, le lymphome B diffus à grandes cellules et le myélome multiple. Le biologiste a un rôle clé pour le suivi de ces patients, que ce soit pour la surveillance des complications, notamment le syndrome de relargage cytokinique, la lymphopénie B et l’hypogammaglobulinémie, mais aussi pour surveiller l’efficacité, via le suivi de l’expansion clonale des CAR-T-cells en cytométrie de flux. Lors de la présentation ces différents points seront abordés et discutés
La diffusion de l’intelligence artificielle s’accélère en biologie avec une nouvelle vague d’innovations. Ce développement rapide soulève des enjeux éthiques et fonctionnels – notamment s’agissant de la phase de validation – que la reconnaissance, française et européenne, du principe de Garantie Humaine de l’IA vise à réguler. Ce nouveau cadre est entré en vigueur avec France avec la nouvelle loi de bioéthique et trouvera son prolongement européen avec le dispositif de conformité prévu par l’article 14 du projet de règlement européen sur l’IA présenté à la fin du mois d’avril dernier. Cette session permettra de bien comprendre ces enjeux et de présenter les résultats des premiers démonstrateurs pour permettre aux acteurs de la biologie de se préparer à cette nouvelle conformité en Garantie Humaine.
La financiarisation de la santé gagne du terrain. Par financiarisation nous entendons le principe de développement d’acteurs économiques (groupes, organisations, réseaux, etc.) qui bénéfi cient d’un apport fi nancier capitalistique. Ces acteurs économiques par des mécanismes de Fusion – Acquisition (M&A) atteignent des tailles importantes et impactent sur les pratiques professionnelles des secteurs de la santé concernés. Comprendre qui ils sont, quelles sont leur stratégie, de quels moyens ils disposent et quelles sont leurs attentes en termes de présence sur le marché ainsi que de retour sur investissement (ROIC), est important pour tous les professionnels de santé. Nous proposons une réfl exion basée sur l’observation des conditions macroéconomiques ayant conduit à développer ces approches fi nancières susceptibles de créer des tensions ou des distorsions concurrentielles pour des praticiens de santé devant respecter des pratiques professionnelles éthiques.
MED’AIDE INTER URPS PACA se présente comme un dispositif opérationnel et original qui est à la fois pluriprofessionnel, pluridisciplinaire et inter syndical. Il est animé par une équipe motivée issue de 9 URPS sur 10 avec le soutien fi nancier de l’ARS PACA.
Il a pour mission de :
- Prévenir les risques d’épuisement professionnel par le repérage et la sensibilisation,
- Accompagner et guider les soignants vers des structures d’entraide pour les soutenir
Le laboratoire doit s’assurer que le transport des échantillons est effectué dans le respect des délais et conditions de température relatifs à la nature des analyses. Mais comment maitriser les flux et les conditions de transport des échantillons réalisés à l’extérieur du laboratoire par les IDEL ? Comment anticiper l’arrivée de ces échantillons, alors même qu’ils ne sont pas pris en charge par le laboratoire ? Autant de questions posées et pour lesquelles il n’est pas toujours facile d’y apporter des réponses. Nous proposons d’échanger autour de ce sujet avec Deigma, une start-up française basée à Caen, et qui a développé une solution digitale permettant d’améliorer la maitrise du pré-analytique et la prise en charge de cette activité pour les laboratoires tout en apportant de la valeur aux IDEL. Benjamin Leroy, Qualiticien au laboratoire Canarelli - Colonna - Fernandez, un laboratoire privé en Corse, exposera la vision de sa structure sur le pré-analytique des prélèvements externes, quels sont les problématiques rencontrés sur cette activité et comment y apporter des solutions.
Une nouvelle solution péri-analytique et analytique au service d’une nouvelle entité forte : Retour d’expérience du groupement des laboratoires Synlab Provence Dans l’environnement de santé actuel, les laboratoires cherchent à améliorer les soins aux patients en optimisant les délais d’exécution des analyses, en obtenant des résultats de qualité et en améliorant les processus des laboratoires. Les nouvelles solutions d’automatisation aident les laboratoires à relever ces défis pour garantir des temps de rendu des résultats patients rapides et constants et réduire le nombre d’étapes de traitement manuelles, permettant ainsi d’améliorer considérablement la productivité du laboratoire. A la suite de la fusion de deux groupements de laboratoires, Synlab Provence a repensé son organisation pour harmoniser les processus de travail, gagner en efficience et en sérénité des équipes.
La Relation-Patient dans le diagnostic et le suivi d’une pathologie grave au laboratoire d’analyses médicales. Parallèle avec la Radiologie. Quelle conduite à tenir pour le biologiste et quelles informations donner au patient ? Jusqu’où aller ? Quelle collaboration Médecin-Biologiste ? Quel besoin de formation pour le Biologiste ? Comment améliorer la qualité d’accompagnement au laboratoire pour les patients en situation de maladies chroniques ? Dans cette session qui réunit des cancérologue, psychologue, radiologue, médecin généraliste et biologistes médicaux, nous ferons un état des lieux des situations incontournables d’Annonce de diagnostic ou de récidive de pathologies graves par le Biologiste. Nous discuterons de la consultation d’Annonce qui est pratiquée en médecine, et de l’opportunité de la création d’une consultation d’Annonce au laboratoire par le biologiste.
L’écoute client et l’innovation sont les moteurs de développement de Sysmex, avec un focus très particulier sur l’automation. Du premier automate d’hématologie cellulaire intégrant sur chaine l’ensemble des analyses sur tube EDTA (NFP, Hb1Ac, VS) à l’ilot d’hématologie Workcell BloodScience couplant la chaine d’hématologie cellulaire XN et la chaine d’hémostase CN, Sysmex a sans cesse fait évoluer ses produits pour répondre à vos besoins d’automation et de rationalisation de vos laboratoires. Au-delà de ces intégrations physiques, notre ambition est aussi de connecter les différentes disciplines de l’hématologie : la cytométrie en flux et la cytologie en premier lieu, et ainsi accélérer les rendus de résultats des échantillons pathologiques au sein d’un laboratoire d’hématologie polyvalent. Cet atelier vous permettra de découvrir le futur proche de votre laboratoire d’hématologie.
Le monde du laboratoire évolue et nous devons nous adapter sans cesse à de nouvelles conditions de travail, rendre nos organisations de laboratoires plus flexibles et anticiper ces changements en s’appuyant sur des solutions qui l’autorisent. Le système innovant d’automatisation de laboratoire GLP Systems a été conçu pour relever ces défis en apportant une grande flexibilité et en redéfinissant l’espace utile du laboratoire. Son concept unique et révolutionnaire de convoyage des tubes basé sur des vecteurs autonomes optimise les flux de travail et la continuité de la production d’analyses. Que votre choix s’oriente vers un Îlot d’automatisation pré/post-analytique, vers une chaîne de robotisation totale, ou bien vers une solution qui évoluera dans le temps d’une solution à l’autre, GLP Systems vous l’autorise. Vos laboratoires ou votre réception des prélèvements sont dans des pièces ou des étages différents, GLP Systems connectera ces différents espaces de travail. Notre système vous permettra même de connecter votre laboratoire à des sites distants de prélèvement dans des conditions optimales afin de fluidifier le parcours du tube et d’accélérer la disponibilité des résultats auprès des cliniciens et des patients. Notre ambition avec GLP Systems est de contribuer à valoriser la Biologie Médicale dans le parcours de soin du patient.